Lorsque l'avion se pose, je considère avoir déjà vécu presque le plus beau du voyage : j'ai pris l'avion si rarement que je n'avais jamais survolé de paysages si variés en une fois.
A l'arrivée, nous sommes ébahis par la présence de tant de vert : et dire qu'il neigeait encore sur Paris et Munich avant-hier !
Le héros local, célébré à chaque coin de rue : Atatürk.
Celui-là même qui a bouté les Grecs hors d'Izmir en septembre 1922.
Ici, un portrait de 20 mètres de haut taillé dans le roc. Expression retenue : préoccupé par le sort des siens, regard bienveillant et protecteur.
En fin d 'après-midi, promenade sur le port.
Nous constatons combien les chiens errants sont nombreux. Certains s'en apitoient, d'autres les caressent ; les derniers se content de les photographier...
En soirée, retour dans le dédale du bazar.
Endroit déconcertant.
En plein centre, une mosquée et son splendide bassin réservoir réservé aux ablutions.
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