- La librairie-capharnaüm, dans laquelle j'ai déjà passé tellement de temps à feuilleter les ouvrages et détailler les 4èmes de couverture qu'elle m'apparaît plus comme une "library" anglaise que comme un magasin inséré dans un système capitaliste et mercantile (mercantile car capitaliste ; capitaliste donc mercantile.). J' y acquiers quelques chefs d'oeuvre que j'exporte vers l'Allemagne, pour enchanter les après-midis de pluie.
- La papeterie traditionnelle, où l'on trouve ces stylos si particuliers, Bis à pointe très fine, impossibles à acheter à Munich.
- La parfumerie dans laquelle je n'ai jamais acheté qu'un seul parfum, aux mêmes vendeuses, depuis des années.
- La boutique de fringues à la vendeuse si disponible qu'elle finira par m'habiller de la tête aux pieds et sur mesure, ceinture et chaussures comprises.
- Le coiffeur, puisque je ne me sens pas capable de "consulter" en Allemagne : quand je considère à quel point j'ai du mal à saisir le sens de certains propos de coiffeurs français, je réalise combien je risquerais de me sentir perdue chez un coiffeur allemand...
Phrase du jour :
"Et en fait vous utilisez quoi comme shampoing ?"
Comme une hésitation... |
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